La lecture de «L’oiseau » de  Michelet, un texte en particulier a retenu mon attention « Le combat ».

Dans la continuité d’autres estampes ont vues le jour, comme une sorte de compte rendu  de promenades improvisées durant  le confinement ;  un rituel qui s’est imposé de  jour en jour : parcourir le même chemin et découvrir les paysages de ce début de printemps, des bordures d’herbes folles,  des champs de graminées, frissonnant au vent, mouillés  par la pluie,  sensibles  aux reflets des nuages ou reflétant les rayons du soleil.

chemin faisant
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